Un Dernier Effort Des Armeniens : L’attendant De Yildiz Contre Abdülhamid Ii Et La Crise Diplomatique Vecue Entre La Belgique

Les Arméniens qui n’ont pas obtenu les résultats ceux qu’ils ont voulus, ont essayé d’attirer l’attention les grands pays et d’arriver à leurs buts pour affaiblir l’Empire Ottoman en organisant un attentat contre Abdülhamid II, en réalisant les autres actions. Dans ce cadre, ıls ont pris la décision pour organiser les grands évènements au congre de Taschnak qui est lieu au janvier en 1904. Selon cela, l’attentat se sera organisé contre le monarque, Le pont Galata, le tunnel, la banque Ottoman, les ambassades, les institutions privés et gouvernementale se seront fait sauter. De cette manière, İstanbul aura bouleversé en se sortant du chaos et la révolution, après les interventions des pays européens se seront assuré.

Les Putschistes arméniennes ont commencé à préparer l’attendant suivant la décision qu’ils ont prise parmi eux.  Samuel Fain (Kristafor Mikaelyan) et sa fille Robina Fain et Lipa Rips (Konstantin Kabulyan) ont joué le plus grand rôle. Ils ont contacté avec Edward Jorris belge qui a un caractère anarchiste.

Servet-i Fünun No 901

Servet-i Fünun No 901

Les comploteurs ont commencé à observer les actions d’Abdülhamid II. Ils ont décidé le vendredi ou ıl est allé à la mosquée Yıldız et la cérémonie officielle est lieu en tant le meilleur temps pour l’acte. Selon leur constat, l’arrivé à sa voiture et sa préparation prenait une minute 42 seconde. En vertu du plan préparé dans ce cadre, une voiture dans laquelle une bombe a été placée se sera apporté hors de la mosquée et elle aura éclaté au cours d’aller sa voiture.

Les comploteurs arméniens sont venus au Mosquée Yıldız avec leurs voitures comme ıls ont planifié En 21 juillet 1905.  Quand la prière est finie, les bombes à retardement ont été agies. Mais à la fin de la prière Cheikh al-Islam Cemaleddin Efendi est venu à cote d’Abdülhamid II.

Ils ont parlé quelque minute au passage. Entre temps, avant de prendre en voiture, la bombe parère avant, a éclaté avec le grand bruit. Le monarque amusé par Cheikh al-Islam Cemaleddin Efendi par hasard, a réchappé de l’attendant de cette manière. Cependant, plusieurs personnes ont été trouvés auprès de la voiture sont mort et blessées.

Selon la parole du Chef de palais Tahsin Pacsha qui a vu personnellement l’attendant, quand la bombe a explosé a monté un bon exemple de courage. (Tahsin Paşa 1990, s. 158). Abdülhamid II a crié avec la voix élevée « N’ayez pas peur, n’ayez pas peur » pour apaiser le panique. Les officiers, les soldats ont remplacés aussitôt qui ont vu son état sans ennui. Il a entré dans sa voiture en disant « Ne paniquez pas personne ne blesse pas de la cohue. Il a des brides. Il a commencé à émerger de la colline en utilisant la voiture plus lente. Pendant ce temps, L’ambassadeur Autriche criait en disant « vive le sultan » (Osmanoğlu 1986, s. 59).

Cet assassinat a organisé par des arméniens contre Abdülhamid II a été annoncé dans les journaux publiés le lendemain par une notification officielle. (Tercüman-ı Hakikat, 19 Cemaziyelevvel 1323) cependant, les grandes réactions sont venues de l’extérieur et intérieur du pays. Le grand nombre des citoyens ont fortement blâmés cette attaque organisé contre le sultan. Tous les monarques et présidents de l’époque ont envoyées des télégrammes de « Rétablissez-Vous vite » et Ils ont publié une déclaration qui blâme cette complot. Le premier rapport concernant l’assassinat a été préparé par la police Beşiktaş. Selon cela, 26 personnes parmi lesquelles étaient 4 journalistes et 3 soldats, ont perdu la vie, 56 personnes étaient légèrement ou gravement blessées. Pourtant, environ 20 animaux sont morts, plusieurs voitures sont devenues le débris. La bombe appelée « la machine infernale » contenant 80 kilos d’explosifs a été utilisé à la tentative d’assassinat. Il existait une fasse qui était 70 cm de profondeur s’est ouvert dans la place ou l’explosion était lieu.

L’enquête initial ont été conduit par une commission dirigé par Necip Melhame Pacsha. Lorsque les recherches continuent, une partie de pneu trouvé à la colline Yıldız est devenu un indice important. Les voitures à roués ne s’utilisent pas beaucoup à Istanbul.  Quand le numéro 11123 et l’écrit « Neseldorfer » ont été relevés entre les débris de la voiture brisées, ıls ont compris que la voiture était construite dans une usine situé à la Vienne. La forme d’assassinat a été décernée par les preuves trouvées. Pendant ce temps, parmi les meneurs Edward Jorris et quelques accusés étaient blessés, les certains considéré comme les meneurs ont réussis à échapper à l’extérieur du pays. Les certains expression d’Edward Jorris avait un rôle important dans l’éclairage de l’évènement.

Par le résultat de la recherche, le développement de l’assassinat était comme suit : Comites révolutionnaire arméniens ont commencé à préparer après la décision qu’Ils ont prise à Sofia. L’un des putschistes Kendiryan a contacté avec l’anarchiste Edward Jorris Belge qui est officié de l’usine Singer. Jorris n’avait pas d’une idée sur la revendication arménienne. Mais, Ils se sont accordés facilement pour que les deux aient une amé anarchiste. Ils étaient d’accord sur l’attaque contre le sultan. Kendirgan a introduit les autres membres de comité Samuel Fain, sa fille Robine Fain, et Lipa Rips à Jorris. Ils ont discutés le plan de l’attentant jusqu’au matin dans une maison qu’ils ont loué à İstanbul.

Quand la forme de l’assassinat a été fixée, premièrement la fourniture de la voiture a été accomplie. En Avril 1905, une femme nommées Mari Zayn a choisi un phaéton en venant à une usine de voiture à Vienne. Apres une personne appelée Silviyo Ricci (Köse Aristidi) a commandé cette voiture. La voiture à envoyées à İstanbul, a été portée à une grange à Sisli qui est choisi d’avance, en se sortant de la douane par l’aide des personnes nommées Mateo et Mihal. Ici, les personnes appelés Mıgırdıç et Yervant ont commencé à s’occuper de la voiture et les cheveux.

De l’autre cote, Lipa Rips habité à une maison à Beyoğlu, a loué une voiture d’une cacher appelé Vafyadis. Mıgırdıç a appris les voitures en se promenant dans la rue d’İstanbul avec cette voiture. Ils ont allés plusieurs fois aux cérémonies du vendredi à la mosquée Yıldız avec la permission faux obtenu de consultât Russe et Ils ont calculés comment ıls pourraient organiser l’assassinat à l’espace réservé pour les étrangers. A la suite, ıls ont pris la décision de réaliser l’attendant par l’explosion d’une bombe à retardement qui était installé dans une voiture auprès de la voiture de Sultan. Dans cette manière, les actions d’Abdülhamid ont été attentivement observées. Ils ont relevés que combien de temps Sultan prend en sa voiture.

Apres, la bombe utilisée dans l’attentat a été acheté de la Paris. La bombe a été amenée à İstanbul par coup un plusierus pacquet en utilisant la voie de Varna et Athènes, et elle a été prise par Silviyo Ricci. Selon la parole de Jorris, l’achat de voiture et les dépenses orientées vers l’attentat ont pris 300 miles Francs. Les argents ont été surtout envoyés par des arméniens situé à l’Amériques, la Russie et la Bulgarie.

En 21 Juillet 1905, L’attentat se sera organisé, les pneus de la voiture ont été revêtis pour empêcher la vibration et contenu 80 kilos de bombe, a été apporté au Mosquées Yıldız. Il y’avait Lipa Rips et Mademoiselle Robbina dans la voiture. Tout a été fait comme prévu précédemment. La bombe à retardement dans la voiture a été réglé selon le temps dont sultan vient à sa voiture après partir de Mosquées. Mais à ce jour, Il s’est amusé à la sortie de prière différemment d’habitude. Voici, Le bombe à retardement réglé d’avance a éclaté avec le grand bruit. (Soruşturma tutanakları için, Attantat 1905). De cette manière, l’attentat n’était pas succès. Tous les plans des anarchistes arméniens n’ont pas servis à rien.

Edward Jorris Belge situé entre les conspirateurs d’assassinat a été porté devant les tribunaux après terminer l’enquête. Il a avoué son crime la pèche de mort était certain. Avant un jour de la décision du tribunal, Le jour de 17 décembre 1905, un évènement aucun compte n’a eu lieu. L’ambassadeur de Belgique d’İstanbul se référant au gouvernent Ottoman, a annoncé qu’il demandera la rétrocession de l’accusé en vertu de consensus du 3 Aout 1838. Selon l’ambassadeur, depuis l’arrestation son gouvernement a assuré toute la facilité, parce que l’evenement s’était plenement illuminé, le maintenu de l’accusé n’était pas utile. Si Jorris  a été condamné, il devrait etre envoyer en Belgique pour purger sa peine. (Pour plus de correspondance: BOA, İ.Hus, no.48, 22 Z 1323, lef.1 et de plus).

Le lendemain, Edward Jorris a été condamné à la peine de mort par le tribunal.  L’ambassadeur se référant une fois encore au gouvernent Ottoman, suivant sa demande précèdent, a demandé la rétrocession de Jorris pour purger sa peine au Belgique. Le gouvernement Ottoman a rejeté la demande en déclarant que l’accord en date du 3 Aout 1838 ne reconnait pas un tel droit au Belgique. Le gouvernement a expliqué les raisons de rejet comme :

« Dans l’accord du 3 Aout 1838, comme ıl n’y a aucune raison particulière pour la reconnaissance des privilèges juridiques plus larges au gouvernement Belge, Babı-ali n’a pas d’une intention de reconnaitre une telle exemption. A cette époque, les droits connus aux autres étrangers, ont été donnés aussi aux Belges. C’est la raison pour laquelle, ıl n’est pas possible que la Belgique a un privilège spécial pour leurs citoyens dans le procès d’assassinat.  Essentiellement, les applications qui se feront dans telles conditions sont énoncées clairement dans les accordes dont L’Empire Ottoman a signé entre la Grande Bretagne et la France.  En conséquence, dans les proches où citoyens Ottomans et les étrangers ont fait ensemble, le fonctionnaire consulaire peut être assisté. Mais la justice Ottoman a une autorité complète dans la prise de décision et de jugement. Il n’est pas nécessaire d’expliquer les articles étant vraiment claires.

L’accord de 1838 entre la Belgique, a été fait dans le contexte des droits connus aux anglais et français. L’application continue pendant 65 ans. Le gouvernement doit rechercher en détail ce sujet. En autre, l’attitude adoptée par le gouvernement belge se regrette sur tel attentat qui éveillé la haine dans le pays Ottoman et étrangers et concernant la paix, la sécurité du pays. »

Le point de vue du gouvernent belge était comme :

Les droits données par les capitulations avec la Belgique en 1838 et les Etats-Unis en 1830, altérée un précèdent accepté concret. Lorsque l’accord a été signé, selon ceux qu’ont été annoncé au gouvernement belge par nos délègues et les délègues Ottoman n’ont pas objecté au texte français qui nous a donné de droit de juger et punir nos propres citoyens. Nous avons aussi fait le changement s’appuyant sur ce jugement. Nous avons organisé les procédures de jugement des belges qui a tué et commis crime dans l’Empire Ottoman. La loi en question est en encore vigueur. Depuis ce temps, si les jugements de cette loi n’a pas été appliquée et si nous jamais n’avons pas demandé l’application de droit qui nous ont donné, sa raison n’est pas l’advenu d’un évènement qui exige la demande de ce droit. Cependant, si nous n’acceptons pas l’autorité des tribunaux Ottoman, cette situation ne signifie pas que nous n’abandonnons pas les droits donnée par l’accord de 1838. Encore que nous sommes tristes de l’attaque d’un citoyen belge contre le sultan, nous sommes très heureux parce que le monarque ne souffre pas de cette tentative. Expliquons ici, notre demande n’est pas le droit de juger, mais la livraison de Jorris. Nous ne voulons pas la livraison de Jorris pour sauver une pénalité. Le gouvernement belge, en ne regarde pas la nature de sujet, ne veut pas renoncer à droites données et à l’accord qui est toujours en vigueur.

Lorsque la crise diplomatique et la guerre juridique continuent entre les partis, Il y avait une nouvelle action. Dans la copie du Journal Conservateur de l’Epargne en 14 Janvier 1906, le commentaire de Paul Wauwermans qui est l’un des juristes du pays a été publié sur ce sujet, Wauwermans a déclaré celles-là dans un article révélant l’injustice de gouvernement belge :

Ce qui est question, est l’article 8 de l’accord du 3 Aout 1838. A premier vue, l’expression écrit dans cet article « les criminels seront jugés par les consuls, ambassadeurs, charge d’affaires ou consul adjoint et seront punis conformément aux procédures courants sur les français. » laisse une impression comme justifié sur la revendication de la Belgique. Mais cet analyse contredit le jugement de l’article 32 de règlements de consuls de 31 décembre 1851 sous la forme de » les meurtres commis par des belges dans les pays non-chrétiens seront reconnue par notre tribunal d’assassinat de Braban. Le fait est que le traité de 1838 peut être pris en compte dans le cadre du respect applicable et des règles juridiques dans cette période.  Le vrai problème est l’utilisation des droits donnés par des capitulations qui nous ont gagnés en faveur de nos gens. Les expressions mentionnées « sur les français » ıls seront jugés et punis conformément aux habitudes courante n’encadrent pas seulement les français. Par conséquente, si nous regardons la façon de la mise en œuvre de la capitulation, dans l’article 15 de la capitulation du 1740 sont écrit « Quand les français commissent un délit contre les autres français, leur jugement aux tribunaux sont naturel. Ainsi, dans les évènements qui ont eu lieu entre les citoyens Ottoman et étrangers. Les tribunaux Ottoman sont autorisés.  En effet, ıl y a eu de nombreux exemples de cette question.

Egalement, un point similaire entre la Russie et l’Empire Ottoman nous présente ici, les consuls russes ont le droit de raisonnement dans les affaires entre des ressortissants russes. Mais Quand un citoyen Ottoman se trouve dans l’évènement, l’autorité des tribunaux Ottoman est préservée soigneusement. Comme nous avons démontré à partir des raisonnements dans ce cas, La Belgique est situé dans une position injuste de la demande contre l’Empire Ottoman. Ce qui la Belgique peut faire, était la prise de permission Ottoman pour une situation qui n’est pas demandé jusqu’à présent. En outre, Il devait être capable d’assurer sur ce sujet de réaliser littéralement la justice. Pourtant, Il est impossible d’obtenir impression que le gouvernement belge sous l’influence d’une partie du texte de notre presse et des rassemblements organisés, peut être juste dans la question de Jorris.

Comme on voit, la Belgique est aussi considérée comme injuste par ses juristes. Du reste, le 1 février 1906, l’Empire Ottoman a définitivement montré son attitude avec ce réponse comme :

Le gouvernent belge appuyant sur une preuve provenant de la version français de l’artifice appartenant à la Belgique de l’accord de 1838, inséré une attitude non-originale comme leur citoyens ont été bénis avec des privilèges extraordinaire par le gouvernement Ottoman. Cependant, le gouvernement Ottoman détient lui-même seulement responsable de ses propres engagements. Par conséquent, ıl est inacceptable des revendications basé sur un texte traduit incompatible avec le texte originale d’un accord. S’il y a une différence entre le texte turc et le texte qui est non-approuvé par le sultan, appartenant à la Belgique.  La version acceptable est la version turque. Dans la version turque, S’il y a les procès, la Belgique n’a pas de droit de juger. Elle a seulement le droit de mettre un consul.

En réalité, les citoyens ont été soumis à la compétence des tribunaux Ottoman dans les crimes mixtes depuis des années. C’est-à-dire, le gouvernent ne peut pas demander une chose plus de traitements appliqués à d’autre pays. La liste des ressortissants étrangers italiens français, Autrichiens, russes anglais qui ont punis par l’Empire Ottoman et complété leur punition dans des prisons Ottoman, a été donnée à la Belgique. En fait, ıls s’avaient que Jorris ne sera pas exécuté, lorsque les réunions continueraient. Parce-que Abdülhamid II qui n’applaudit pas à la peine de mort, a changé la peine de l’anarchiste belge à l’emprisonnement à perpétuité. Dans le cadre des développements, Edward n’a pas été redonné à la Belgique, mais ıl a été envoyé à l’Europe en donnant le passeport.

Bibliographie

BOA, İ.Hus, no.48, 22 Z 1323, lef.1 ve devamı.

Enquete sur l’Attantat Commis dans la Journee du 21 Juillet a l’Issue de la Ceremonie du Selamlık, Constantinople 1905.

Osmanoğlu, Ayşe (1986), Babam Sultan Abdülhamid, İstanbul.

Tahsin Paşa (1990), Sultan Abdülhamid Yıldız Hatıraları, İstanbul.

Tercüman-ı Hakikat, 19 Cemaziyelevvel 1323.

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