Les années de guerre deviennent des conditions extraordinaires, ont des effets négatifs sur tous les domaines en particulier les domaines sociaux et économiques. Une des conséquences de la guerre au tissu social, la rupture des familles et particulièrement les enfants sont des victimes en termes d’à la fois des conditions de la santé défavorable, la nutrition, logeant et le sens émotionnelle. Au territoire de l’Empire ottoman tant de la guerre expérimentée, fréquemment confrontées par l’immigration selon la perte de sol, l’une des questions les plus importantes sont des enfants non-accompagnés ou des femmes.
Apres La Loi d’Expédition et Du Logement, des orphelines et les femmes veuves ne sont pas expédiées, au contraire, l’application de logement ont commencée aux villages où ils ont la pratiquées. (Armenians in Ottoman Documents, 1995, s. 11) Des orphelins et des femmes soumis aux déportations, ayant la responsable de la famille portées les armes ou n’ayant pas quelqu’un pour s’occuper des troupes ont dû être placées dans ou près de la station où ils sont arrivés à la gare. (Beyoğlu, 2001, s. 190, DH.ŞFR, 58/124)
En même temps, le gouvernent a décidé de livrer des veuves et des orphelins arméniennes à leurs parents, dans le cas de n’ayant pas leurs parents, Ils sont livrées à leurs autorités religieuses ou si c’est impossible dans les deux cas, ıls sont projetées par le gouvernement. (DH. ŞFR, 94/56, 95/163; Baran, 2007, s. 115-126) Dans ce contexte, Le nombre des enfants non-accompagnés sous 10 ans dans les provinces de l’Ottoman ont été essayés de fixer pour être placé aux orphelinats Ottomans. (Darüleytam) Les subsides nécessaires ont été alloués par le ministère de l’intérieur ou le budget de Guerre. (DH.KMS,39/4_1). Dans ce processus, une des autres méthodes appliquée est le placement des femmes arméniennes et des leurs enfants aux cotes des familles Musulmans qui ont la meilleure situation. En absence de telle famille, ıls ont été confiées aux villageois pour être couverts en allouant leurs dépenses. On observe qu’après la signature de l’expédition, une des questions le plus controversé était cette application de placement. Cependant, Le 21 octobre 1918, Le ministère de l’intérieur a publié que toutes les habitants de l’Ottomans déplacées en raison d’état de guerre, ont autorisées de revenir aux leurs villes. (Karakaya, 2005, s.54; DH. ŞFR; 64/162). A cette époque, plus de 62 délégations formées par les pays d’entente, ont commencées à rechercher des assertions à propos des centaines de milliers arméniens déportées à l’Anatolie et Ils ont demandées individuellement aux femmes Marié avec des Musulmans leurs consentements. (Gürün, 1985, s. 241-242). Les enfants arméniens ont été commencé à livrer aux leurs communautés propres depuis que la fin de l’application de protection par des familles musulmanes. De même, le gouvernement d’Ottoman a entretenu à livrer aux enfants arméniennes leurs communautés religieuses, sans regarder leur contents et approbation avec le procès-verbal et dans le cas où ‘il n’y a pas une organisation communautaire, ıls ont été logé aux ınstitutions officielle. Lorsque les orphelins arméniens n’ont pas été acceptés par leurs communautés, le gouvernement ont les projetées. (DH. ŞFR, 96/210; DH. ŞFR, 94/182). Etant donné que les personnes plus de l’Age de vingt ans, ont de droit de choisir librement leurs religions, les arméniens dont ıls choient l’islam peuvent revenir leurs anciennes religions. Pourtant, le gouvernement d’Ottoman a décidé de ne pas intervenir les arméniens décidées dont ıls choient volontairement l’islam. (DH. ŞFR, 97/247).Après cette décision, le Patriarcat arménien a nommé un officier qui s’appelle Çarkınyan et les autorités ottomanes ont commencé à travailler avec lui à la lumière des documents. Cependant, selon les déclarations dans documents, Çarkınyan a découvrit son intention disant que le but de compensation des pertes de guerre par la population Musulmane. En même temps, Çarkınyan s’était abstenu de donner des documents d’inscription délivrés par l’association des femmes en matière d’emploi. Cette situation a créé le danger d’enfants Musulmans montrés comme l’arménien. Cela raison pour laquelle, il a été créé une organisation appelée Bitarafhane(logement neutre) pour déterminer des enfants apatrides. Même si ce logement a été fondé pour les enfants n’ayant pas adolescent et ne peuvent pas faire ses preuves, contrairement les enfants musulmans apatride ont été placés au logement. (DH. ŞFR, 96/248; DH.KMS, 52-2/79-6).
Selon les mots de Stanford Shaw, « le plus cruel de ce comportement était la nomination des missionnaire Chrétiens aux les plus grands orphelinats. Ces missionnaires ont prétendu que des enfants turcs orphelins qu’ils étaient des Chrétiens en utilisant leurs positions. Sans preuve du contraire, ces enfants ont été considères comme le grec ou arménien. Cependant, Dans un pays où tous les records ont été disparus et les familles ont été brisé, prouve que cette situation était très difficile. ( Shaw, 2000, s.394).
Malgré une commission formée de trois femmes turques, arménien et Amérique pour la détermination des identités des enfants, sans donner une information à la police d’Ottoman, ıls ont commencé à prendre les enfants orphelines par la force et les essais faites sous le prétexte de trouver et protéger des enfants ont causés des majeurs problèmes. (DH. KMS, 52-2/79-1).
Cela raison pour laquelle, L’un des problèmes fondamentaux du période d’armistice peut être compté comme la tentative de l’occupation des bâtiments à Istanbul dans le but de placer des orphelines arméniennes au moyen de la commission de confiscation.
Certains bâtiments occupés par la commission de confiscation dans le période d’armistice ont été pu relever. À ce stat, les britanniques avaient voulus confisquer les manoirs de Halil Pacha et Enver Pacha à Nişantaşı. Pourtant, après Il a constaté que les propriétaires résidaient dans les manoirs. (DH. KMS, 50-1/16).
Un autre bâtiment demandé pour être utilisé comme un dépôt ou entrepôt de transit mais utilisé plus tard comme un orphelinat était Lycée Militaire de Kuleli. Lorsque le directeur scolaire Halil Pasa a obligé d’évacuer le bâtiment dans les 24 heures, pendant ce temps, les étudiants, des professeur et des officier scolaire ont porté les ustensiles scolaires la place de la mosquée adjacent. Lycée Militaire de Kuleli évacué est affecté aussi comme un orphelinat arménien mais les immigrants arméniens venant à Istanbul ont commencé à utiliser ce bâtiment. (Konyalı, 1997, s.326-327).
En 1922, Les bâtiments du Lycée Militaire Kuleli a venu à l’ordre du jour pour restituer des étudiants militaire. En réalité, bien que non juridique, autres bâtiments ont été abandonnés à 7 ans aux orphelinats arméniens et Ils sont exonères d’impôts. Cependant, les autorités n’ont pas autorisé la tentative de l’occupation du nouvel hôpital pour les orphelines arméniennes. Le bâtiment a été complètement évacué après le grande offensive.
Le transfert de la terre situé entre Eyup Street et le cimetière arménien à Şisli a été demandé à apporter à l’orphelinat arménien et elle est autorisée par le Conseil de des ministres d’Ottoman (Meclisi Vukela) ( MV, 254/14, DUİT, 14/3).L’un autre des bâtiments confisqué pour être utilisé comme un orphelinat arménien se trouvait à Taşmerdiven Ortaköy. Cette maison appartenant à une veuve femme a été occupé, sans reconnaitre un temps, en jetant ses affaires par le fonctionnaire appartenant le patriarcat arménien et le police britannique. Selon la pétition de la propriétaire, on la comprend que quand la maison est occupé, la veuve femme avait été jeté dans la rue. Apres, Elle a été faits devenu un dortoir. Malgré un examen a été effectué pour la maison ayant des loyers impayés, aucune résultat ne étaient pas satisfaisants et elle a été utilisé comme un foyer de l’orphelinat arménien. (Atnur, 2005, s.204-205). De même, une autre maison confisqué pour le même but se trouvait aussi à Hasköy. Selon l’enquête, étant donné que la maison est en ruine, après la réparation, elle a été affectée à l’orphelinat arménien au moyen de patriarcat. (DH. UMVM, 160/1-2). Encore, les bâtiments qui sont à moitié vide à moitié plein dans les rues de Büyükdere, Pangaltı, Ihlamurdere à Sisli ont été vues disponible pour les orphelinats arméniens. (DH. Komisyon-ı Mahsus, D1/337). Selon La déclaration du bureau centre de Kadıköy, La maison de Docteur Monsieur Akif a été occupée aussi pour être servi aux orphelinats arméniens. En plus, certains bâtiments trouvant à Ankara ont été aussi demandé par les britanniques. Selon les correspondances réalisant entre le corps d’armes d’Ankara et les britanniques, un casernement non résidentiel a été destinés pour un train d’orphelinats qui se logeront à Ankara. De même, Il existait une demande de transformation de l’école d’agriculture pour le même but. ( DH. KMS, 502/45).
Apres le période d’Armistice et la mobilisation à İstanbul, comme les britanniques et les français ont insistés sur l’occupation des maisons d’Ottoman, cette situation a donné lieu aux grandes pauvretés et misères à cet époque-là. Etant donné que L’autorisation d’occupation d’une ou deux salles des propriétés privées pendant un temps temporaire par des forces militaires dans la période de bataille et de manœuvres est considère comme invalide et illégal, le processus d’évacuation et restitution a commencé dans les maisons confisqués. Pourtant, la liste d’occupation des maisons a destiné à donner les délègues qui participeront la conférence de Paix. (DH. İUM, 4/3, 7/47; MV, 221/160; MV 218/5; DH. MB. HPS. M 39/20).
Toutes ces applications sont finies après l’acquisition de la guerre d’indépendance. Lorsque la question de minorités est discutée à la Conférence de Paix de Lausanne, l’assertion du changement de religion par la force des enfants musulmans et chrétiens a été venue encore une fois à l’ordre du jour. D’autre part, la Turquie a attiré l’attention sur l’intervention extérieure qui influence les minorités et elle a déclaré que les commissions constituées examinent également toutes les assertassions mais la conférence doit s’intéresser à l’avenir. (Uras, 1988, s.23; Meray, 2001, s.183-184).
Archiver
Başbakanlık Osmanlı Arşivi
Dahiliye Nezareti Şifre Kalemi Evrakı (DH.ŞFR)
Meclis-i Vükela Mazbataları,(MV)
Dahiliye Nezareti, Mebani-i Emiriye ve Hapishaneler Müdüriyeti Müteferrik Belgeleri (DH.MB.HPS.M)
Dahiliye Nezareti Umur-ı Mahalliye-i Vilayat Müdüdiyeti Belgeleri, (DH.UMVM)
Dahiliye Nezareti Kalem-i Mahsus Müdüriyeti, (DH.KMS)
Dahiliye Nezareti İdare-i Umumiye Belgeleri, (DH.İUM)
DH.Komisyon-ı Mahsus
Livres et articles
Armenians in Ottoman Documents (1915-1920), Ankara, 1995.
Atnur, İbrahim Ethem (2005), Türkiye’de Ermeni Kadınları ve Çocukları Meselesi, Ankara.
Babacan, Hasan (2007), “Ermeni Dul ve Yetimleri ile Osmanlı Devleti’nin Bunlara Karşı Takip Ettiği Politikalar”, Hoşgörü Toplumunda Ermeniler, Cilt II, Erciyes Üniversitesi I. Uluslararası Sosyal Araştırmalar Sempozyumu, Erciyes.
Baran, Tülay Alim (2007), “İngiliz İşgal Politikası İçinde Ermeni Faktörü, Mütareke Dönemine Ait İki Uygulama, -Ermeni Mahkumların Salıverilmesi ve Yetimhane İçin Bina İşgalleri”, II. Uluslararası Türk-Ermeni İlişkileri Sempozyumu, Erzurum.
Beyoğlu, Süleyman (2001), “1915 Tehciri Hakkında Bazı Değerlendirmeler”, Ermeni Meselesi Üzerine Araştırmalar, İstanbul.
Gürün, Kamuran (1985), Ermeni Dosyası, Ankara.
Karacakaya, Recep (2005), Ermeni Meselesi, İstanbul.
Konyalı, İbrahim Hakkı (1977), Abideleri ve Kitabeleriyle Üsküdar Tarihi, cilt II, İstanbul.
Meray, Seha L (2001), Lozan Barış Konferansı, Tutanaklar-Belgeler, cilt II, İstanbul.
Shaw, Stanford ve Ezel, Kural (2000), Osmanlı İmparatorluğu ve Modern Türkiye, Cilt II, İstanbul.
Uras, Esat (1988), The Armenians in History and The Armenian Question, İstanbul.